1 avril 2010

Blondie

Je ne publie pas beaucoup de messages à caractère musical bien que l’une de mes passions soit pourtant – vous l’aurez compris – la musique et plus spécialement tout ce qui sonne Pop Rock, ah un bon vieux Rock n’ Roll des années 70…

Une fois n’est pas coutume, j’ai beau apprécier Debbie Harry et son groupe, porter un petit collier fort sympathique à son effigie (qui me vaut pas mal de railleries de la part des incultes), ce n’est pas d’elle dont ce billet traite. Ce n’est d’ailleurs pas de musique en général. Je préfère vous raconter mes expériences Live.

Du coup, qu’est-ce que Blondie vient faire dans ce titre?

Et, bien c’est tout simplement le nom donné à un Brownie au chocolat blanc du fait de sa couleur… blonde à la cuisson… simplissime, il suffisait d’y penser?

Bon, trêve de blabla, la recette !

Ingrédients

100g de beurre fondu
150g de sucre roux
150g de farine
1 pincée de sel
1 càc de levure chimique
2 oeufs
25g de pistaches non salées concassées
50g de pépites de chocolat blanc
50g de pépites de chocolat noir

Pour la préparation, c’est comme d’habitude: On commence par mélanger toutes les poudres ensemble dans un saladier, à savoir: sucre, farine, sel, levure.

Puis, après avoir fait un puits, on incorpore le beurre préalablement fondu et les 2 oeufs battus. On mélange jusqu’à ce que l’appareil soit bien lisse. Enfin, on ajoute les pistaches concassées et les pépites de chocolat blanc et noir.

Il existe une variante de ce blondie pas mal du tout: On fait fondre ensemble le beurre et 100 grs de chocolat blanc au bain marie (une casserole d’eau chaude bouillante sur laquelle est posée une autre casserole contenant le chocolat), sans jamais remuer pour ne pas détériorer le chocolat. Puis, on mélange délicatement cette préparation à l’appareil principal.

Enfin, on peut choisir d’autres types de noix pour agrémenter le blondie. Personnellement, j’aime la combinaison de la pistache et du chocolat blanc.

Bref, quelque soit votre choix, le blondie s’enfourne pendant 45 minutes à 200°.

Et après, une attente insoutenable, c’est prêt… En voilà une recette fort sympathique pour combler le fameux blues du dimanche, dont tout le monde parle ces jours-ci 😉