Les Papotages de Nana - Rush

Rush, le film qui va viiiiiite

 

Tour de chauffe.

Aux Papotages de Nana –si vous suivez le compte Twitter– vous n’êtes pas sans savoir que le dimanche c’est sacré… surtout quand c’est Dimanche de Grand Prix…

Alors quant il a été proposé à Mister LPDN d’aller voir la dernière production de Ron Howard, « Rush », dont justement l’univers de la F1 est le sujet, il n’a pas longtemps hésité…

 

Qualif’

Rush, c’est l’histoire du combat mécanique duquel se sont livrés James Hunt et Niki Lauda pour tourner l’une des plus belles pages de l’histoire de la F1 des années 70, avec à la clé, LA lutte épique pour le gain du championnat du monde 76 dont tous les spécialistes se souviennent.

On savait que ces sportifs devaient avoir un sacré grain pour se lancer à plus de 250km/h sur des circuits dénués d’une quelconque once de sécurité (le film met d’ailleurs très bien en images cet aspect), ce que l’on ignorait avant d’avoir vu ce film, c’est que la F1 est un sport ô combien noble et humain.

 

 Les Papotages de Nana - Rush

 

Gentlemen, Start your engines

LA force du film est qu’il arrive à nous plonger dans les personnalités et sentiments de deux pilotes de course précités, à tel point que l’on arrive à complètement oublier qu’il s’agit d’un sport mécanique, avec tout le glamour (Maquillage, Champagne, Sexe, Alcool, ..) et le côté macho que cela induit.

Mesdames, très sincèrement, si vous ne tombez pas sous le charme d’un Chris Hemsworth plus blond que nature dans le film, vous allez dans ce cas adorez l’histoire palpitante que le film nous propose de suivre.

Ainsi, on se prend au jeu et on oublie, ou plutôt, on savoure, chacune de ces séquences prises à 200 à l’heure sur les plus beaux circuits du monde, et qui rythment le film sans jamais qu’on se lasse des 2h d’images qui défilent sous nos yeux grands ouverts.

Une mention spéciale aux Sons/BO (Merci Harry Gregson Willimas, tu sais que je t’aime toi!), tout bonnement géniaux, qui claquent et bourdonnent et qui délivrent au spectateur une dimension tout particulière, celle-là même qui permet de plonger dans l’univers de la gomme brulée et de l’huile chaude…

 

White flag is out, this is final lap

L’histoire retrace habillement -sans jamais qu’on s’ennuie- le duel de 1976 qui a vu son point culminant tout d’abord au Nurburgring, puis pour la touche finale, à Fuji en territoire Nippon.

Les protagonistes Chris Hemsworth et Daniel Brühl rendent le duel Hunt/Lauda de l’époque réellement  énivrant, et terriblement réaliste. Les seconds rôles (Alexandra Maria Lara et Olivia Wilde) complètent ce casting, qui sur le papier, semblaient casse-gueule comme une flaque d’huile au milieu d’une chicane… et qui pourtant tient la route comme des slicks tout droit sortis des couvertures chauffantes.

 

 Les Papotages de Nana - Rush

 

Mais selon moi, c’est bien Daniel Brühl qui, au travers de son jeu d’acteur remarquable, fait un Niki Lauda *splendide*. En arrivant à rendre le bonhomme attachant, humain, limite affectueux, il réalise une prouesse quant on connait -de part la presse- que le véritable Lauda était une véritable machine, réglée pour gagner, aussi entêté qu’exigeant envers lui et les autres, une sorte de Senna avant l’heure, sans réelle compassion, ni émoi en quelques sortes.

 

World Champion 

Vous l’avez compris, Mister LPDN il a grave kiffé le film. Et il le reverrait bien même tellement ça lui a plu.

Et il va même vous faire un aveu : il ne faudrait pas qu’un jour il tombe sur une lampe à génie, avec 3 vœux à exaucer… l’un d’entre eux se terminerait sur un podium à sabler le Champagne devant des milliers de tifosis en délire… rahhhh, c’est beau de rêver !

 

 

4 réponses à “Rush, le film qui va viiiiiite”

  1. jackie dit :

    ah les grands prix du dimanche … on voit que ça a laissé des traces chez toi Miss LPDN <3

  2. Ah tiens, je pense que ça pourrait intéresser mon chéri et mon père ! Je vais leur en parler. Merci pour cet article.

    Ingrid

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